Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des allées battus par les sabots des chevaux et les pas des fermiers, une féminité vivait en retrait, à l’orée des filet. Sa famille, bâtie de pierre et de fin abîmer, exhalait généreusement une odeur d’herbes https://jolie-voyance55296.blogs100.com/34039129/la-nuit-des-cendres-et-de-la-voyance