Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des sentiers battus par les sabots des chevaux et les pas des paysans, une femme vivait en retrait, à l’orée des fin. Sa domicile, bâtie en pierre et de visée morose, exhalait grandement une odeur d’herbes https://reidxiiuy.ltfblog.com/32556974/la-nuit-des-reliques-et-de-la-voyance