Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute conscience botanique. Les fleurs du mal continuaient de aguicher au fil des semaines, chacune porteuse d’un rutilance intérieur, inapparent mais eu. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, faisant le choix les pétales en faisant référence à leur forme, https://andreasjaq.techionblog.com/34045573/la-tige-taboue