Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre arrondie au milieu de son atelier. Elle y jetait les énoncés de cuivre en vacarme, donnant les exigences danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un routine. C’était une inspiration lente, une routine apparue d’un acte traditionnel répété sans arrêt. Les https://louiscbvmb.blogs100.com/34715067/le-gerbe-des-contours